2023, état des lieux

Tout va bien !

Vous pouvez aller faire du ski en Arabie saoudite, grâce à la neige artificielle, mais plus dans les Alpes. Le réchauffement climatique contrarie les chutes de neige !

L’hôpital est à l’agonie mais on a suspendu 3.000 soignants car non vaccinés, alors qu’en 2020, mêmes positifs, ils devaient aller travailler !

30% des cancers humains sont causés par la consommation de tabac, plante parfaitement naturelle, cependant, 35% des cancers sont causés par une mauvaise alimentation, principalement un excès de graisse et de cholestérol !

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« RUPTURES », de la crise des subprimes au premier quinquennat Macron

De la crise des subprimes à la pandémie de Covid-19, l’Occident, adossé au système capitaliste libéral, a mis en œuvre les fondements d’une gouvernance mondiale économique et politique. L’objectif est d’établir une technostructure mondiale reposant sur une stratégie de domination devant englober tous les rouages institutionnels et privés. De nouvelles règles de croyance, de consommation, de mœurs et de doctrines s’imposent grâce aux puissants relais médiatiques. Un nouveau dogme civilisationnel devient le credo incontestable qui doit s’imposer à tous les citoyens ; autant de ruptures qui leur sont infligées, qu’ils le veuillent ou non.

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Comment la IIIème République a réagi face à la montée du nazisme ? (suite2)

Mais il y a la question des réparations.

Souvenons-nous de la formule « L’Allemagne paiera », imprudemment déclarée par Monsieur Klotz, Ministre des Finances dans le gouvernement présidé par Georges Clemenceau, lorsqu’il rédigeait les clauses financières intéressant la France dans le Traité de Versailles. Et, sur cette affirmation, osée autant que téméraire, le Parlement a voté les lois sur les dommages de guerre et sur les pensions de guerre, indemnisant les victimes des allemands. « Je ne peux pas payer » répond l’Allemagne qui, dans le même temps, organise, scientifiquement, son insolvabilité. Et, tandis que ses représentants larmoient dans les conférences internationales, où l’histoire des réparations se résume à celle d’une peau de chagrin, les délégués britanniques et américains rivalisent de générosité à l’égard de l’Allemagne. Une des nombreuses erreurs du Traité de Versailles a été de ne pas fixer le montant de la dette de l’Allemagne pour les réparations. Au début, l’Allemagne a été astreinte à des livraisons en nature : charbon, produits chimiques, bois etc., dont elle s’est acquitté fort mal, et avec la plus mauvaise volonté. Puis la Commission des Réparations en fixa le montant en valeur-or. Evidemment les experts allemands dénoncèrent ce plan comme insensé et comme dépassant les possibilités de l’économie allemande. C’est pourquoi, comme le pense Monsieur Poincaré, l’Allemagne a organisé systématiquement sa faillite monétaire. Dès juillet, un dollar s’échangeait contre 500 marks. Six mois après, il valait 20 000 marks puis le montant astronomique de plus de 4 trillions de marks !

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Comment la IIIème République a réagi face à la montée du nazisme ? (suite)

En 1932, l’égalité des droits en matière d’armement entre la France et l’Allemagne permet à l’Allemagne d’avoir une armée équivalente, en termes de puissance d’armement, à celle de la France.

Pour Pierre-Étienne Flandin c’est incontestablement une victoire pour l’Allemagne. Car avant les élections législatives gagnées par la gauche, Léon Blum disait : « Le désarmement est le plus sûr moyen de parer au danger. Je ne crois pas que l’Allemagne souhaite la guerre. Si le danger était imminent, le peuple allemand réagirait contre cette folie. Nous devons faire confiance à la classe ouvrière organisée et au parti socialiste, qui est l’ennemi de la guerre ».

Les positions de droite et de gauche s’opposent ici. La manière forte pour la droite qui veut stopper le réarmement de l’Allemagne qu’elle voit comme un danger à venir. Le pacifisme à gauche qui pense que ce n’est pas parce que l’Allemagne aura une armée qu’elle s’en servira pour autant contre la France.

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Comment la IIIème République a réagi face à la montée du nazisme ?

SOMMAIRE

  1. Pourquoi le traité de Versailles ? quel fut son impact sur la montée du nazisme ?
  2. Les marqueurs des années 30 : instabilité gouvernementale et montée des extrêmes
  3. Krach de 29 : crise financière entraine crise économique qui aboutit à une crise sociale, explosion du chômage
  4. 1932 : l’Allemagne obtient l’égalité des droits en matière d’armement qui lui permet d’avoir une armée équivalente à celle de la France – Les positions opposées de Blum (socialiste) et de Flandin (Alliance Démocratique) – L’impuissance de la SDN – Le mouvement pacifiste anglais
  5. 1933 : Hitler devient chancelier – fin de la démocratie – incendie du Reichstag
  6. 6 février 1934 : pourquoi les partis extrêmes prennent de l’importance ? faiblesse des partis démocratiques
  7. 1934/35 : Flandin Président du Conseil – les accords de Stresa – le pacte franco-soviétique
  8. De quelle défense doit se doter la France ?
  9. 1936 : Flandin, Ministre des Affaires étrangères avant le Front Populaire
  10. 1938 : les accords de Munich – annexion des sudètes
  11. 1939 : invasion de la Pologne – déclaration de la guerre
  12. 1940 : l’Allemagne envahit la France
  13. Armistice et fin de la IIIème République

INTRODUCTION

À la fin de la première guerre mondiale tout le monde s’accordait pour dire : « plus jamais ça ». Les nations européennes, plus les USA, ont eu la volonté de prendre des mesures pour que cessent ces conflits récurrents entre la France et l’Allemagne ainsi que toute guerre en Europe. Ce fut la signature du Traité de Versailles et la création de la Société des Nations (SDN). Mais en affaiblissant l’Allemagne on a favorisé la montée du nazisme qui avait pour objectif de recréer son empire, le 3ème Reich. Face à cette volonté affirmée les responsables politiques Français n’ont pas réussi à avoir une position claire et durable.

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Ukraine, un processus dévastateur (suite 2)

Que dit le droit international ?

L’OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe) oeuvre en faveur de la paix, de la démocratie et de la stabilité pour plus d’un milliard de personnes. Dans sa mission de prévenir les conflits et de faire respecter le droit International, l’OSCE a participé, le 14 mars 2022, à une réunion au Conseil de Sécurité de l’ONU :

  • Le Président en exercice de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), M. Zbigniew Rau, a souligné devant les membres du Conseil de sécurité la nécessité d’une coopération étroite avec l’ONU au moment où les principes fondamentaux de la Charte des Nations Unies et le droit international sont violés de manière flagrante au cœur même de l’Europe
  • Mme Rosemary DiCarlo, Secrétaire générale adjointe aux affaires politiques et à la consolidation de la paix, a appelé catégoriquement à « ne permettre aucune remise en cause de la souveraineté et de l’intégrité territoriale de l’Ukraine à l’intérieur de ses frontières internationalement reconnues »

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Ukraine, un processus dévastateur (suite)

2019, élection de Zelenski : « L’élection présidentielle de mars- porte au pouvoir l’humoriste et comédien Volodymyr Zelensky, qui, après avoir éliminé dès le premier tour Loulia Tymochenko, pourtant donnée favorite durant toute l’année 2018, récolte 73 % des voix au second tour face à un Porochenko affaibli par cinq années de guerre et de corruption. »

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Ukraine, un processus dévastateur

Le sujet est tellement sensible que tenter d’apporter un éclairage objectif peut être rapidement jugé et sanctionné. Allons-y quand même !

Présentation du pays (Wikipedia) :

« L’Ukraine est un état d’Europe orientale, le deuxième d’Europe par sa superficie. Elle est bordée par la mer Noire et la mer d’Azov au sud. Ses pays frontaliers sont la Russie au nord-est et à l’est, la Biélorussie au nord, la Pologne, la Slovaquie, la Hongrie, la Roumanie et la Moldavie. Sa capitale est Kiev et compte 45 millions d’habitants.

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Macron, bis !

Nous en reprenons pour cinq ans de plus et j’en suis dépité et affligé. Pourquoi ?

Parce que cet homme n’aime pas la France, ni ses citoyens « qui ne sont rien », ni sa culture « qui n’existe pas », ni ses héros qu’il évite de rendre hommage. Quant à ses positions sur notre histoire, elles sont méprisables, stupides et dangereuses. Je reprends, ci-après, le point de vue de Michel ONFRAY à ce sujet :

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