
La voiture électrique en question

Le contester est une erreur de jugement d’une réalité prouvée.
En remettre en question la cause due à l’augmentions du CO2 dans l’atmosphère et son impact sur l’effet de serre tient du complotisme. Les énergies fossiles utilisées par l’humanité depuis la révolution industrielle, surtout depuis les trente glorieuses du XXème siècle, que sont le pétrole, le gaz naturel et le charbon sont responsables d’un réchauffement massif de la température terrestre. Il faut donc à tout prix limiter la production de CO2. Telle est la doxa mondialiste.
Mais pour Christian Gerondeau*, le CO2 est bon pour la planète !
Que dit-il ?
Chaque jour que Dieu fait, des événements, des décisions ou des déclarations nous interpellent car elles nous paraissent idiotes ou agressives, incohérentes ou injustifiables, dénuées de sens ou abjectes, révoltantes ou injustes. On ne les comprend pas ou on les rejette. Mais aussi parfois on finit par les ignorer ou les penser sans importance. Notre cerveau serait-il à ce point malléable qu’il finit par accepter autant de manipulation ? Pense-t-on qu’il faille lâcher prise et ne pas s’énerver ? Que l’intelligence de l’être humain finira par triompher ? Ou tout simplement que les choses s’arrangeront d’elles mêmes.
Le Traité de Versailles a rebattu les cartes en 1919. L’Allemagne vaincue est punie, sanctionnée, dépecée. Trop d’humiliation attisera la colère et la vengeance. Hitler en fera son fonds de commerce.
Pour se donner les moyens de contrôler les ardeurs nationalistes européennes, les Alliés créèrent la Société des Nations (SDN) et signèrent des traités permettant aux états attaqués de demander une aide militaire de soutien à leurs alliés européens. La SDN non dotée d’une force de police n’aura qu’un impact moral et non décisif.
Richard Coudenhove-Kalergi se pose la question de savoir si, ces dispositions du Traité de Versailles lui paraissant insuffisante, ne devrait-on pas créer les bases d’une Europe unie politiquement, monétairement et commercialement ?
L’Europe a décidé de briser les monopoles d’État partant du principe que la concurrence est dynamique et créatrice d’idées et de projets, alors que les monopoles sont sclérosés, peu réactifs, constitués d’un personnel bénéficiant d’avantages disproportionnés, qui coûte cher et dont les comptes sont en déficit chronique. Le seul moyen de changer cet état de fait est de privatiser ces mastodontes. C’est ainsi qu’en octobre 2018, les députés EN MARCHE ont voté la privatisation d’Aéroports de Paris, annulée depuis. L’opposition a chahuté dans l’hémicycle et manifesté son courroux sans honte alors qu’elle a passé son temps à tout vendre aux capitaux privés, depuis plus de quarante ans. Elle a poussé des cris d’orfraie, ce qui est un classique du genre du théâtre des apparences, pour faire croire au peuple que les règles démocratiques sont bien respectées.
Les prédictions de Karl Marx sur la théorie de la baisse tendancielle du taux de profit ne se sont pas réalisées. Il écrivait : « Le capitalisme est un rapport de forces inégal entre capital et travail. L’entreprise appartenant au capital cherche à optimiser ses revenus et à réduire la valeur travail à son niveau le plus bas qui est le niveau de subsistance ou le niveau de concurrence sur le marché du travail. Le partage de la plus-value se fera de moins en moins vers le travail et de plus en plus vers le capital… De plus en plus de capital, de moins en moins d’occasions d’investir, c’est dire que l’on va affecter ce capital à des investissements de moins en moins rentables, donc que le taux de rentabilité du capital est condamné à tomber à zéro. »
L’erreur fondamentale de Marx est d’avoir négligé la dimension technologique. Il est tout à fait possible qu’en absence de progrès technique la prédiction marxiste puisse se réaliser. Mais, depuis un siècle, tel n’est pas le cas.
Une problématique inquiétante
L’eau potable est une eau propre à la consommation, que l’on peut boire, mais aussi utiliser pour préparer les repas et se laver. Face à une croissance démographique rapide, une urbanisation galopante et des perturbations climatiques en hausse entrainant des sécheresses, l’accès à une eau potable en Afrique devient vital. En cinquante ans, la quantité d’eau douce disponible par an et par habitant a diminué de moitié, passant de 16 800 m3 à 7 300 m3. Elle devrait continuer à baisser jusqu’à 4 800 m3 en 2025.
Selon l’ONU, d’ici dix ans 40% de la planète pourrait manquer d’eau.
L’Afrique, continent le plus pauvre de la planète, dispose d’importantes ressources en eau. En revanche, il manque les infrastructures de distribution et d’assainissement qui permettraient aux populations d’accéder à l’eau potable.
Dans la plupart des grandes villes africaines, moins de 10 % des habitants bénéficient d’un accès privatif à l’eau douce (robinets individuels) et de toilettes raccordées au tout-à-l’égout, et seulement 10 à 30 % des ordures ménagères sont enlevées.
Je reprends ici le texte de Sandra Freyburger qu’elle a publié sur sa page Facebook car il faut diffuser le plus largement possible ce qu’elle dénonce. La France, dirigée par des lâches qui refusent de voir la réalité, laissent le mal islamiste se répandre. Ce refus de voir la réalité n’est pas nouveau. Dans les années trente, déjà, les pacifistes refusaient d’arrêter Hitler dans ses reconquêtes territoriales bien que l’on savait pertinemment ce qu’il préparait. Une fois réarmé il lança ses forces à l’ouest puis à l’est. Il fallut les forces de frappe américaines et soviétiques pour en venir à bout. Penser que des pervers belliqueux ne sont qu’une minorité que l’on croit savoir gérer et contrôler est une grave erreur qui finira par se payer un jour.