Lac KIVU – Les volcans


























CULTURE DU QUINQUINA AU CONGO
Dès 1925, on commença à planter du quinquina au Congo. L’écorce de quinquina et la quinine qui en était extraite ont, pour certains historiens, joué un rôle déterminant dans l’expansion coloniale des puissances européennes. Dans les années 1950-1960, un produit de synthèse, la chloroquine (nivaquine), au coût de fabrication très faible, remplacera la quinine d’extraction dans les pays développés. La culture s’est cependant poursuivie en Indonésie et s’est considérablement développée dans certains pays d’Afrique (République démocratique du Congo, Cameroun, Côte d’Ivoire).
La culture du quinquina est optimale dans les régions d’altitude (de 1000 à 3000 mètres) dans un climat tempéré et constant. La teneur en quinine est la plus élevée en 4ème année. Phases de la culture : semage en germoir, repiquage, sélection des plantules puis plantation dans un terrain drainé et bien entretenu (fauchage), avec sélection des rejets. La récolte, après avoir sectionné les troncs, se fait par écorçage et séchage.











TANZANIE – KILIMANDJARO et le cratère du NGORONGORO



















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