Les progressistes à la manœuvre 

L’idéologie progressiste se porte bien. Leur credo est de faire de l’occident une entité économique au service des multinationales et de la finance mondiale. Leurs leviers sont la surconsommation, l’abrutissement des masses pour en faire des peuples qui ne pensent plus, la défense des minorités agressives pour culpabiliser les citoyens sur leurs actions passées, l’idée de faire croire qu’ils sont les seuls représentants du camp du bien, le développement de l’intelligence artificielle et la mainmise sur les médias pour éviter toute pensée qui ne correspond pas à leur doxa etc.

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Conseil des sinistres

Le président Machepro ouvrit la séance. Les visages sont fermés, les regards inquiets, les mines pitoyables, car l’ennemi rôde, attaque, contourne et se joue des défenses terrestres autant que célestes. Le Premier sinistre, Jean Cache-sexe, arrive des studios de Boulogne où il jouait le facteur dans un film de Fernandel. Compte tenu de sa calvitie déjà largement faisandée et de ses lunettes de myope attardé, le bougre tentait d’avoir l’air contrit. Il avait fait accrocher au mur, récemment rénové par la douairière de l’Élysée, une carte des départements de France qu’il avait gardée dans son grenier, en 1958, lorsqu’il avait été reçu à HEC, les hautes études communales. Il avait gardé cette attitude niaise du crétin satisfait persuadé d’apporter au monde son intelligence de blaireau, si ce célèbre mammifère plantigrade, si apprécié des barbiers, veut bien m’excuser de cette métaphore foireuse.

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Le projet de gouvernance mondiale

L’important pour les nantis est de régner sur un royaume. Car, peu importe le royaume, c’est la royauté qui compte. Le royaume peut être une nation, une région, un marché, une communauté, une collectivité, une confrérie, une corporation ou une association. Tout est connecté et inter dépendant. Tout le monde s’influence et joue sa propre partition pour défendre ses avantages ou son territoire. La nouvelle classe mondiale a ainsi ses réseaux d’influence et de corrompus à leur botte. Tout s’achète, même une organisation, quel qu’elle soit. Dans tous les empires ce processus a fonctionné de la même manière. Les maîtres du monde n’ont jamais perdu, sauf quand l’empire s’écroule et disparaît. Nous sommes arrivés à un point de rupture entre un modèle capitaliste qui sort chaque année des populations de la pauvreté, qui fait émerger partout des classes moyennes avides de consommation et un modèle néo-libérale qui ne tient plus compte de la volonté des peuples mais ne se soucie que de faire croitre les multinationales qui imposent leurs méthodes et concepts et manipulent les politiques.

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Au pays de la COVID-19

Un matin ordinaire dans le métro parisien. Les zombis masqués paraissent encore plus seuls et perdus qu’avant. Ils semblent apeurés, immobiles, sur leurs gardes. Leurs pensées sont annihilées, ralenties et doivent chercher à accrocher une idée, même plus une histoire, trop difficile. Juste du rassurant, de l’apaisement.

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Les leçons de la pandémie de la Covid-19

  • Les professionnels de santé sont plus indispensables que les joueurs de foot
  • Aucun prêtre, gourou, astrologue ou guérisseur n’a pu sauver qui que ce soi
  • Chanter sur son balcon n’est plus un déséquilibre mental

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Le monde d’après en 5 questions

Les pandémies sont-elles prévisibles ?

Du moyen-âge à aujourd’hui, elles ont toujours existé. La grippe, dite espagnole, mais en fait venant de Chine, a fait un million et demi de morts en 1918/19. La pandémie s’est propagée dans plusieurs pays et continents simultanément en moins de 3 mois. Mais selon l’Institut Pasteur, la grippe espagnole aurait tué plus de 30 millions de personnes. La grippe de 1968, ou grippe de Hong Kong, est une pandémie de grippe qui s’est répandue dans le monde entier à partir de l’été 1968 et jusqu’au printemps 1970. Elle a tué environ 1 million de personnes et a été causée par une souche réassortie H3N2 du virus H2N2 de la grippe ABien que probablement apparue en Asie centrale ou dans le centre de la Chine vers le mois de février 1968, la pandémie est reconnue à Hong Kong où elle a touché un demi-million d’habitants, soit 15 % de la population.

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