Les progressistes à la manœuvre 

L’idéologie progressiste se porte bien. Leur credo est de faire de l’occident une entité économique au service des multinationales et de la finance mondiale. Leurs leviers sont la surconsommation, l’abrutissement des masses pour en faire des peuples qui ne pensent plus, la défense des minorités agressives pour culpabiliser les citoyens sur leurs actions passées, l’idée de faire croire qu’ils sont les seuls représentants du camp du bien, le développement de l’intelligence artificielle et la mainmise sur les médias pour éviter toute pensée qui ne correspond pas à leur doxa etc.

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Quand le capitalisme sauve aussi la planète

Les prédictions de Karl Marx sur la théorie de la baisse tendancielle du taux de profit ne se sont pas réalisées. Il écrivait : « Le capitalisme est un rapport de forces inégal entre capital et travail. L’entreprise appartenant au capital cherche à optimiser ses revenus et à réduire la valeur travail à son niveau le plus bas qui est le niveau de subsistance ou le niveau de concurrence sur le marché du travail. Le partage de la plus-value se fera de moins en moins vers le travail et de plus en plus vers le capital… De plus en plus de capital, de moins en moins d’occasions d’investir, c’est dire que l’on va affecter ce capital à des investissements de moins en moins rentables, donc que le taux de rentabilité du capital est condamné à tomber à zéro. »

L’erreur fondamentale de Marx est d’avoir négligé la dimension technologique. Il est tout à fait possible qu’en absence de progrès technique la prédiction marxiste puisse se réaliser. Mais, depuis un siècle, tel n’est pas le cas.

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