« RUPTURES », de la crise des subprimes au premier quinquennat Macron

De la crise des subprimes à la pandémie de Covid-19, l’Occident, adossé au système capitaliste libéral, a mis en œuvre les fondements d’une gouvernance mondiale économique et politique. L’objectif est d’établir une technostructure mondiale reposant sur une stratégie de domination devant englober tous les rouages institutionnels et privés. De nouvelles règles de croyance, de consommation, de mœurs et de doctrines s’imposent grâce aux puissants relais médiatiques. Un nouveau dogme civilisationnel devient le credo incontestable qui doit s’imposer à tous les citoyens ; autant de ruptures qui leur sont infligées, qu’ils le veuillent ou non.

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Le projet de gouvernance mondiale

L’important pour les nantis est de régner sur un royaume. Car, peu importe le royaume, c’est la royauté qui compte. Le royaume peut être une nation, une région, un marché, une communauté, une collectivité, une confrérie, une corporation ou une association. Tout est connecté et inter dépendant. Tout le monde s’influence et joue sa propre partition pour défendre ses avantages ou son territoire. La nouvelle classe mondiale a ainsi ses réseaux d’influence et de corrompus à leur botte. Tout s’achète, même une organisation, quel qu’elle soit. Dans tous les empires ce processus a fonctionné de la même manière. Les maîtres du monde n’ont jamais perdu, sauf quand l’empire s’écroule et disparaît. Nous sommes arrivés à un point de rupture entre un modèle capitaliste qui sort chaque année des populations de la pauvreté, qui fait émerger partout des classes moyennes avides de consommation et un modèle néo-libérale qui ne tient plus compte de la volonté des peuples mais ne se soucie que de faire croitre les multinationales qui imposent leurs méthodes et concepts et manipulent les politiques.

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