« RUPTURES », de la crise des subprimes au premier quinquennat Macron

De la crise des subprimes à la pandémie de Covid-19, l’Occident, adossé au système capitaliste libéral, a mis en œuvre les fondements d’une gouvernance mondiale économique et politique. L’objectif est d’établir une technostructure mondiale reposant sur une stratégie de domination devant englober tous les rouages institutionnels et privés. De nouvelles règles de croyance, de consommation, de mœurs et de doctrines s’imposent grâce aux puissants relais médiatiques. Un nouveau dogme civilisationnel devient le credo incontestable qui doit s’imposer à tous les citoyens ; autant de ruptures qui leur sont infligées, qu’ils le veuillent ou non.

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La nouvelle classe mondiale

Pour comprendre le monde d’aujourd’hui, il faut s’intéresser aux empires. Ils ont existé depuis des millénaires jusqu’à nos jours : l’empire Mongol, l’empire Ottoman, l’empire romain, le Saint empire romain germanique (Charles Quint), l’Empire Austro-hongrois, l’empire napoléonien, les empires coloniaux anglais et français, l’empire soviétique, les Reich allemands etc. Leur raison d’être est d’élargir leurs frontières en empiétant sur d’autres états qu’ils décident de gérer directement ou de les laisser diriger leurs affaires selon les lois et directive de la puissance dominante.

La volonté politique de l’empire est à la fois d’étendre son territoire mais aussi d’imposer sa conception de société, avec tout ce que ça comporte comme règles de vie et de mœurs, de croyance religieuse ou d’organisation de la vie privée ou publique. Parce qu’il y a toujours eu des hommes qui savent ce qui est bien pour les humains (je sais ce qui est bon pour vous ; ma cause est juste et vous devez y adhérer) ils décident de l’imposer par la force et la violence.

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