Donald Trump, derrière son tempérament brutal et ses outrances, a compris une vérité simple : un pays qui n’a plus d’usines, plus de fermes, plus de maîtrise technologique, n’a plus d’indépendance. L’Amérique, dit-il, veut redevenir une nation productrice. L’Europe, elle, persiste à s’endormir dans le mythe d’une mondialisation heureuse. Quand l’idéologie remplace la réalité Depuis…